Je propose aux collectifs un espace-temps réflexif où je les invite à s'immerger dans le réel, dans le vécu, au plus près de leur pratique, du travail vivant.

 Je crois en l'intelligence collective, à l'appréhension de la subjectivation des situations rencontrées et au partage d'expériences pour repenser le travail et faire émerger la coopération.

La demande est souvent sous tendue par une tension entre logique économique et logique sociale. Le changement ne se prescrit pas il se construit dans un processus qui implique le plus grand nombre.